Avec leur album Don’t Be Boring, pour lequel ils ont collaboré avec Jim Diamond, bassiste des Dirtbombs qui a aussi travaillé sur la réalisation de deux albums des White Stripes, les quatre jeunes Vendéens des Dynamite Shakers ont su reproduire le savant mélange d’énergie et de simplicité des sessions Sun Records de 1955.

Nourri de premières influences très sûres comme Eddie Cochran, Gene Vincent ou les Stray Cats, le quatuor est allé puiser dans le son plus brut du garage rock des Dogs, des Sonics ou encore des Fleshtones, avec qui il a souvent partagé la scène, pour servir, avec élégance, un cocktail toujours explosif en live.